L’idiotie humaine est arrivée, de nos jours, à tel degré d’imbécilité mentale que le fidèle être à ton épouse ou être fidèle à ton époux est considéré propre d’obsolètes; dont nous savons encore que nos grands-pères patients et des grand-mères étaient, malgré tout, immensément heureuses pour les uns ont été fidèles aux autres et vice versa.
Dans un biais de sagesse, Paolo Mantegazza a estimé que “pour qu’un mariage soit heureux, l’accord entre les caractères est plus nécessaire que l’accord entre des intelligences”. Et c’était Hermann Kayserling qui a deviné juste aussi après avoir dit que “le bonheur maximal du mariage, de la chose que les jeunes ignoreront toujours, est celle-là de vieillir ensemble”. Mantegazza admettait la forme d’être comme quelque chose supérieur à la forme de penser et Keyserling vérifiait ce qui succède actuellement : que la majorité de la jeunesse n’a pas d’idée de ce qui est le vrai amour. Par cela l’infidélité emporte comme mode.
C’est l’expression maximale de l’ignorance stupide. Mettre d’une mode ce qui est une manière. Et c’est que plusieurs que des êtres divins croient, à l’heure de la fidélité pour avec elle ou pour avec lui non actuán avec la manière d’être (propre des hommes et femmes avec une personnalité bien définie) mais comme mode d’être. C’est la différence ou comme l’a dit William Shakespeare : “être ou ne pas être”. J’approprierais la phrase en disant : “être personne ou être animal”. Et c’est que, dans cela de la fidélité mutuelle, il y a beaucoup d’animaux libres par les rues quand ils devraient être dans l’étable comme les ânes et les ânesses.
J’affirme catégoriquement, et sans que ma main tremble après l’avoir écrit, que la fidélité de l’époux vers l’épouse et de l’épouse vers l’époux la plus haute conception eue est et par avoir du bonheur humain. Si quelqu’un me nomme obsolète pour sentir et pour agir tel, seul je peux le regarder avec pitié, demander au Dieu qui a une compassion de son ignorance et suivre avec elle, des fronces du bras par les chemins chrétiens, jusqu’à atteindre l’Éternité.