Escribir palabras, banales como el viento, no sirven de nada si por fria me siento, como el hierro, como el hielo… Sentir el calor o abrazar a la oscuridad con su manto de lagrimas – por cielo lo tengo en mi mente – dara igual en estos momentos.
Cuadros ocultos en la mente sin descifrar aun, cuadros en blanco, con solo un trazo basta para saber la intensidad, con el color para saber el humor, la direccion… un misterio por resolver.

Paralisis cerebral que se arregla sin descansar, de aqui para alla, sin pensar en nada mas, solo el cuerpo mover y la mente distraer en otra cosa banal… Sigue Leyendo...

La lógica es como decir que una bola se moverá de un punto A a un punto B, y bajo eso se mueve el universo, y es con esa ley, que Dios mueve una estrella y hace que en la Tierra llore un bebé, al llegar al mundo. Todo es lógico.

L’idiotie humaine est arrivée, de nos jours, à tel degré d’imbécilité mentale que le fidèle être à ton épouse ou être fidèle à ton époux est considéré propre d’obsolètes; dont nous savons encore que nos grands-pères patients et des grand-mères étaient, malgré tout, immensément heureuses pour les uns ont été fidèles aux autres et vice versa.

Dans un biais de sagesse, Paolo Mantegazza a estimé que “pour qu’un mariage soit heureux, l’accord entre les caractères est plus nécessaire que l’accord entre des intelligences”. Et c’était Hermann Kayserling qui a deviné juste aussi après avoir dit que “le bonheur maximal du mariage, de la chose que les jeunes ignoreront toujours, est celle-là de vieillir ensemble”. Mantegazza admettait la forme d’être comme quelque chose supérieur à la forme de penser et Keyserling vérifiait ce qui succède actuellement : que la majorité de la jeunesse n’a pas d’idée de ce qui est le vrai amour. Par cela l’infidélité emporte comme mode. Sigue Leyendo...